De vielles connaissance [John Connors]

Après avoir marcher un petit moment pour trouver le lieu en question où avait lieu le rendez-vous, Ly rentra dans une sorte de café sur deux étages qui faisait aussi restaurant. Elle c’était habillée d’un jean bleu clair accompagnée de talon haut agrémenté d’un débardeur noir et de sa veste en cuire cintrée. Elle avait relevé ses cheveux en queue de cheval.
Passée les portes vitrées, elle se dirigea vers les ascenseurs, et après avoir patienté quelques instants, elle s’engouffra à l’intérieur de l’un d’entre eux. Alors que l’ascenseur la soulevait plusieurs dizaines de mètres au-dessus du sol, elle se remémora les circonstances de ce rendez-vous.

A peine revenue d’une mission, elle avait trouvé une note sur son bureau lui disant que John Connors était à New-york et qu’il voulait la rencontré. Cela faisait des années qu’elle ne l’avait pas revu, enfaîtes depuis qu’il lui avait sauvé la vie au fin fond de l’Europe de l’est.

La porte s'ouvrit alors, sur une ambiance de café bien sympathique, Ly trouva une table, pas trop loin du bar et alla s'y installer. Elle déposa son sac à main à coté d’elle et attendit.

Un serveur vint lui demandé ce qu’elle souhaitée..

- Bonjour madame, qu'est-ce que vous prendrez ?

Ly grimaça légèrement, elle détestée quand on l’appelait elle avait l’air de prendre 10 ans.
Elle commanda un café qu’on lui apporta quelques minutes après.

Le soleil n'était pas au plus haut point dans le ciel mais le
climat était assez bon pour être vêtu comme il l'était: costume simple
avec chemine de style estival.
John marchait dans les rues
New-Yorkaise, il adorait le climat de constante agitation qui faisait
la beauté du peuple New-Yorkais, leurs froideurs étaient aussi
extrêmement connu et le New-Yorkais qu'était John ne faisait pas
exception à la règle, il était quelqu'un de froid mais cela tout le
monde le savait... Il marchait, cigarette à la bouche, journal à la
main et arme à la ceinture, le directeur de la Crypto avait tenu à
revoir un agent à qui il avait sauver la vie, et oui John était une
sorte de Superman humain, heureusement pour lui, il ne mangeait pas de
Kryptonite. Il ne savait même pas pourquoi il voulait la revoir mais
c'était ainsi et l'imprévisibilité était une grande marque de caractère
chez l'homme. C'était ainsi qu'il fonctionnait et malheur à ceux que sa
dérangaient. Il avait donné rendez-vous au Starbuck's même si c'était
un endroit de fort passage, il affectionait leurs cafés ainsi que leurs
Donuts. Il tira une bouffée de sa cigarette et la jeta sur le trottoir,
il fouilla ensuite dans sa poche avant d'en sortir un mouchoir en soie
dans lequel il renifla et le rangea. Il se dirigea ensuite vers la rue
où se trouvait le plus grand des Starbuck's du coin. Il jeta un regard
à son montre, il était un peu en retard mais ce n'était pas grave, il
s'en fichait, lui directeur d'un grand service, deuxième de la C.I.A
avait tout les droits! Il poussa la porte de vitre et entra, le
brouhaha habituelle du lieu se fit sentir, tout le monde criait et
l'odeur de friture lui vint aux narines... Il jeta un coup d'œil et vit
la femme qu'il cherchait, il l'avait vu une fois mais s'en souvenait,
elle n'avait pas changer, pour rien au monde! Il s'approcha d'elle et
lui dit:

-Vous êtes bien Liouda?

Ly tournait d’un air absent son café se remémorant la mission qui l’avait fait rencontré John.

Elle était encore agent du KGB à ce moment là et avait pour ordre avec son équipe de détruire un entrepôt contenant un laboratoire clandestin. A cette époque Ly ne posait pas plus de questions que ça et se contentait d’exécuter les ordre. Grosses erreurs… ce labo était en fait des chercheurs civiles innocents…

Elle fut coupée dans ses pensée quand le serveur vint lui demander si elle voulait autres chose.

Vous désirez quelques chose d’autres madame ?

Oui, qu’on arrête de l’appeler comme ça !!!! Bon pas très discret et pas du tout hystérique pour une jeune femme seule à une table.

Non merci ça ira.

Elle ne put replonger de ses pensées quand John arriva.

Vous êtes bien Liouda ?

Oui, mais appelez moi Ly.

Elle lui fit signe de prendre place en face d’elle et regarda l’homme en face d’elle. Il n’avait pas changer, certes le temps laisse des traces chez tout le monde mais c’était toujours la même force et gravité qu’elle avait sur lui il y a quelques années de cela.

Il sourit à la jeune femme avant de prendre place là où elle avait pointée son doigt. Il lui déclina l'un de ses -rares- sourires et fouilla dans sa poche, il en sortit tout d'abord un mouchoir avec lequel il se moucha puis son habituel paquet de cigarette, il en prit une et ayant sortie son briquet, il l'alluma et tira une bouffée, que la nicotine mélangée au goudron était bonne en ces temps d'incertitude gouvernemental, l'homme risquait sa vie tout les jours et il le savait car même assit dans son bureau les yeux rivés devant un écran d'ordinateur, il avait son rôle à jouer, si les données tirées des vieux ordinateurs n'étaient pas bonne le gouvernement avait de fausses informations et cela pouvait entrainer de nombreux fiascos gouvernementaux comme par exemple la destruction de maisons innocentes à la place des vrais domaines terroristes, c'était le cas au Mexique, en Argentine et en Colombie, la guerre en Irak, elle n'épargnait personne, c'était comme cela que le gouvernement traiter le problème des talibans, ils faisaient un nettoyage massif de la population jugeant avoir le droit de vie et de mort sur n'importe qui sous prétexte qu'ils étaient "musulmans et terroristes" d'après les dires de l'ex Président actuellement remercié et rediriger vers son état natal. L'Amérique était souvent appeler à jouer la police du monde et c'est cela qui faisait sa beauté et sa force. Les États-Unis en plus d'être un pays ayant des initiatives était très vigilant et le métier de John et de ses hommes étaient essentielle à toute société. Il regarda l'agent mais avant qu'il n'ait pu ouvrir la bouche pour dire un mot, un serveur grand et massif s'approcha de la table avant de demandé à John si il souhaitait quelque chose, ce dernier lui répondit avec la plus grande des politesses.

-Un café, je vous prie.

Le garçon acquiesa puis s'en alla derrière son comptoir pendant ce temps, John détailla la jeune femme mais ne dit mot, attendant la fatidique question "Pourquoi vouliez-vous me voir?"

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