The Getaway [Ou]

HJ: je viens te tenir compagnie XD et je m'essaie au "je" XD

Avancer...reculer...tourner à droite...tourner à gauche...s'arrêter?...Non...surtout pas....s'arrêter était une mort précoce...il ne fallait jamais s'arrêter...surtout pas dans cette vie que les gens avaient....une seule vie...pas plus... impossible de se faire rembourser si elle se terminait avant l'heure...impossible d'exprimer son mécontentement quand un malheur vous arrivait. Sans doute que la question qui brûlait leurs lèvres étaient pourquoi moi? Qu'est-ce que j'ai mérité pour terminer dans les buisson de Central Park? C'est étrange cette perception de la vie qu'on a quand on cotoie tellement la mort comme moi. Oh bien sûr, pas les morts de contes de fées, où la grand-mère se fait dévorer par le loup sans laisser une marre de sang derrière elle, moi je voie la cruauté des hommes...des victimes s'entassant dans les archives avec une mention cas résolu ou affaire abandonnée. Je me suis toujours demandé pourquoi il fallait absolument tuer...je n'ai jamais trouvé la réponse...sans doute était-ce comme se faire fouetter...un truc excitant devant bien en sortir.

J'ai été appelé pour un meurtre. le mot parait barbare et peu professionnel, mais je ne supporte pas d'utiliser ce terme courtois et dénaturé qu'est "homicide". Oui ça sonne plus joli, plus classe, mais qu'est-ce qu'on a à foutre de comment appeler le fait que cette fille est morte dans les buisson...ce n'est pas elle qui va choisir...enfin...en tous cas maintenant , son boulot de victime , elle l'a fait, c'est à moi de prendre la relève. Je prends mon temps, sentant des regards brûlants derrière moi. Des passants, peut-être un journaliste qui cherche ma bénédiction mettre dans l'édition de demain HOMICIDE MYSTERIEUX A CENTRAL PARK, en énoncant combien la criminalité avait grimpé dans cette région , tout en faisant un lien discret mais certain avec le domaine de la drogue, qu'il fallait mieux laissé tranquille. La fille s'appelait Anna-Bella....une fille de joie sans doute, vu comment elle était habillé et ce que son sac contenait. Ce n'était pas rare comme scénario. un client violent, un dérappage de sa part et hop, zigouillé comme une oie à l'abbatoir. Mais àla déception de tout le monde, cette demsoielle s'était auto-homocidé. En d'autres termes, elle s'était tiré une balle dans la tête. Bien sûr, je n'étaispas expert en ballistique, mais disons que j'avais mon expérience avec les suicide...l'angle de l'arme, l'entrée et sorti de la balle..., c'était typique. Pour faire joli, le légiste confirmerait et la police scientifique relèverait des traces de poudre sur ses mais...au pire si je me trompais, j'aurai toujours du travail pour trouver son meurtrier. Un dernier regard au cadavre avant de me relever après avoir passé son linceuil sur elle. .Qui sait qui pouvait l'attendre quelque part....mais aujourd'hui, ce n'était pas à moi de l'annoncer à quelqu'un, parce que mon service se terminait dans une heure et que je comptais cette fois finir mon service. les heures supp, c'est bien beau, mais faut pas en abuser non plus.

C'est en retournant à ma voiture que je l'ai vu. Une tête brune...elle ne mavait pas dit qu'elle avait changé de teinte? Question idiote, bien sûr qu'elle me l'avait dit, mais sans doute n'avais-je pas relevé ce passage. Après réflexion je décidais de changer mon cap et pris la direction opposée à celle d'origine pour terminer juste derrière la-dite personne citée si-dessus.

"Kalya K point Everwood....on ne vient plus dire bonjour à un vieil ami?"

Hooo de la compagnie je me sentirais moins solo tiens huuh C'est Kalya Kathryn Everwood le point c'est pour raccourcir mdr te sens pas obligé de le rajouter...

Alors que j’avançais toujours dans central park je pu apercevoir une foule de personne se précipiter vers un point commun, le lieu du crime. Sourire narquois, les gens son tellement étrange se précipiter pour aller voir qui est mort… Comme si cela les regardait, chacun y passe qui pourrait rêver d’une mort plus outrageuse que celle qui te montre aux yeux des autres comme un vulgaire morceau de viande ? Dévoilant de la personne la partie qu’elle aurait voulut ne jamais montrer, qui voudrait mourir en faisant son métier ? Qui peut dire connaître la personne morte ou non en se basant sur ses habits et son style de vie ? Moi je ne le peux pas, car personne ne peut nier que les femmes de joies ne son pas obligatoirement que ça, peut être mène t’elle une vie des plus simples entourée par des gens qui l’aime, peut être qu’elle ne vie que pour sa dose d’héroïne ? Qui serais je pour juger une personne en manque ? Moi qui suis passée par la, moi qui ai faillit sombré dans les profondeurs des plus noir abîmes de mon âme.
Découvrant le visage de la jeune femme, elle semblait si calme si reposée… Sa mort avait semble t’il était rapide, une balle dans la tête propre, net. Sur le sol se trouvait des morceau de matière grise baignant dans le sang, c’était le genre de vision que j’avais l’habitude de voir, celle-ci me ramena dans le passé alors que j’avais 16 ans, voyant mon père tomber sur le sol jetant un dernier regard dans ma direction s’excusant presque pour ce que je devrais subir a l’avenir, ce regard triste plein d’excuse je n’y avait jamais fait attention auparavant, seule la colère en l’envie de vengeance qui bouillonné en moi m’avait fait avancer, défier les hommes armés qui avaient osé entrer chez moi pour s’en prendre a celui qui avait toujours su me montrer les plus sombres côté des humains, lui qui m’avait tant fait souffrir pour au final que je comprenne que le monde était loin d’être rose, surtout pour les plus innocent et frêle qui rêve d’un compte de fée sans faille… Chose qui n’arrive jamais car même les plus beaux conte de fée ne sont pas sans faille sinon cela ne serait pas aussi amusant vous ne trouvez pas ?

Flash back, vison de moi respirant un grand coup, passant l’une de mes mains ensanglantée sur mon visage pâle, le sang chaud s’étale sur mon visage impassible. Un regard rapide vers celle qui demeure être ma douce et tendre moitié, j’aurais espérer que cela ce passe autrement.
4 personnes armées, deux jeunes femmes de 16 ans armés de Saï, qui aurait pu penser que les deux jeunes femmes pourraient se battre avec autant de souplesse ? Qui aurait tout simplement pu croire que les deux jeunes femmes pourraient sans sortir tout simplement ? Le bruit de tire, les crie de douleur lorsqu’une lame transperce leur chaire, les crie de colère… Puis Ally tombant a terre ramenant ses genoux a auteur de son menton se balançant d’avant en arrière traumatisée, moi qui gardait les yeux rivé sur les morts regardant pour la dernière fois mon père avant de lui fermer les yeux, n’ayant aucune peine pour ce que je venais de faire, ne ressentant aucun sentiment, aucune peur pour ce qui pourrait m’arriver… Puis ma vie fût chamboulée, nous apprenions un secret sur mon père, secret si profondément enterré que même moi je n’aurais pu trouver ce dont il s’agissait.
Ainsi, noud fûmes embarquée dans une sombre affaire, en plus de cela nous avions tué le fils du big boss… Un juste retour des choses ? Je ne sais pas, tout ce que je peux dire c’est qu’avant de me prendre trois balles je décrivis a celui-ci la mort qu’eu son fils… Je connaissais déjà les conséquence, cela m’était bien égale car ce que j’attendais n’arriverais peut être pas… Douce mort qui m’aurait enfin libéré de tous mes maux.

Retour à Central Park, la main posé sur l’une des cicatrices causé par les balles qui m’avait mise K.O. J’observa une dernière fois la jeune femme et partie un peu plus loin, me posant de nombreuse question, comment avait elle pu en arriver la ? Qui l’avait poussée ? Etait ce bien un suicide ? Il semblerait a première vu mais la méfiance et la meilleur des armes, combien de fois les meurtres on si bien était maquillé que nous aurions pu les prendre pour un suicide ? Les apparences sont parfois trompeuses et je peux dire que je sais de quoi je parle.

Je ne savais pas que les filles de la NSA étaient aussi canon...

En face de moi se trouve un policier, grand, mince, beau certes mais cela ne m'intéresse guère, reach out, mais cela ne changera rien car je suis solitaire dommage? Non pas vraiment car même la plus solitaire a toujours une faille, mais ce n'est pas lui qui la trouvera.

On ne m’avait pas dit que les gars de la police étaient aussi lourds...

Regard noir, si je devrais me baliser sur ce genre de petite chose je serais débordée, mais qu’importe, je n’y prêtais plus la moindre attention, cela faisait partie de mon quotidien..
Approchant d’un buisson je remarqua vite un détaille, détaille qui me rappela vaguement quelques choses… Mais je ne su définir quoi, plongeant dans les recoins de ma mémoire pour tenté de me souvenir de quelques chose je fût distraite, sortie de ma pensée par une voix que je connaissait plutôt bien depuis le temps que je l’entendais a l’autre bout du fil…

- Vieil ami ? Ou est donc passé ta canne ?

Regard sombre, visage impassible, je ne changea pas d’expression pendant quelques minutes, puis je fini par esquisser un vague sourire, il me connaissait assez pour savoir que j’étais différente, mais pas assez pour savoir pourquoi je l’étais, savait t’il que je ne ressentais aucun sentiment ? Aurait il pu le deviner ? Cela reste encore à voir très chère.

- John Morrow, quel surprenante surprise, l’homme qui se

trouve si souvent sur le terrain, et au téléphone, je n’ai pas eu de nouvelle de toi depuis bien longtemps comment va tu ? Le FBI te fait toujours autant travailler ?

Je me doutais déjà de la réponse qu’il me fournirait, comme toujours j’avais la vague impression qu’il était très occupé, mission, mission, si il y avait bien un agent du FBI que j'apperécier tout particulièrement cela ne pouvait être que Mister Morrow bien évidemment.

Ah ma chère demoiselle, tu te trompes d'univers...la canne c'est pour House...le flingue c'est pour moi...les ordis c'est pour toi" répondit John avec un sourire espiègle.

Le flic enleva ses lunettes, comme il le faisait toujours quand il parlait à quelqu’un. Il n'avait pas besoin de se cacher pour mentir, depuis le temps c'était devenu une deuxième nature chez lui. Mais s'il y avait bien une personne à qui il ne mentait jamais c’était bien cette jeune femme en face de lui. Sa première véritable amie, même si cela avait été à distance. Elle en avait des dossiers sur lui, des pas très jolis, qu’elle pouvait sortir rien que pour l’embarrasser, mais d’un autre côté, tout le monde avait besoin de quelqu’un comme ça, quelqu’un de proche qui gardait la tête froide. Et puis vu que la NSA n’était rattaché pas aussi rattaché que le Fbi au gouvernement, John avait là une source d’information assez intéressante dont il n’usait cependant pas. Mais quant il aurait un dossier contre sa dernière affaire de drogue, il a transmettrait sans doute à la jeune femme, notamment parce qu’il enquêtait officieusement et que si ses supérieurs l’apprenaient, il se ferait sans doute virer, même avec 10 ans de bons et loyaux services.
Mais ne parlons pas malheur, John ne comptait prendre sa retraite que le jour où son arme allait s’enrailler, comme la plupart des flics du terrain. Il eut un petit rire à la dernière réplique de son amie.« On peut dire ça comme ça….tu me connais…je deviens exécrable derrière un bureau…j’ai besoin des grands espaces…comme les chiens…un flic peut être un chien ou une fouine…n’est-ce pas ma petite fouine »

Il ne pouvait pas s’en empêcher, il devait la taquiner, quand on se connaissait depuis tellement longtemps, les familiarités pouvaient en choquer plus d’un. M’enfin, il ne s’était pas attaquer à ses cheveux…et il ne le ferait pas tant qu’elle laisserait ses cheveux tranquille. Après un coup d’œil à l’ambulance qui embarquait le corps de la prostituée, il continua.

« En congé ma belle ? »